Отсутствует (исполнитель: Неизвестен)
Eblouie par la nuit Ослепленная ночью Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle frôler les bagnoles les [bad word] des têtes d’épingle. J’t'ai attendu 100 ans dans [bad word] en noir et blanc Tu es venu en sifflant. Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle shooter les canettes aussi paumé qu’un navire Si j’en ai perdu la tête j't’ai aimé et même pire Tu es venu en sifflant. Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle A-il aimé la vie ou la regarder juste passer? De nos nuits de fumette il ne reste presque rien Que tes cendres au matin ce métro rempli des vertiges de la vie la prochaine station, petit européen. Mets ta main,dessends-la au dessous de mon coeur. Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle Un dernier tour de piste avec la main au bout J’t'ai attendu 100 ans dans [bad word] en noir et blanc Tu es venu en sifflant. Ослепленная ночью во вспышке мертвенного света Касания машин, глаза как игольное ушко Я тебя ждала 100 лет на черно-белых улицах Ты пришел, насвистывая Ослепленная ночью во вспышке мертвенного света Бессмысленно метаться, как корабль, потерянный в море И если я от этого потеряла голову, я тебя любила И даже хуже Ты пришел, насвистывая Ослепленная ночью во вспышке мертвенного света Любил ли он жизнь, или просто смотрел как она проходит? От наших наркотических ночей не осталось почти ничего Лишь твой пепел утром В этом метро, переполненном от головокружения жизни На следующей станции, маленький европеец Приложи руку, опусти ее под мое сердце. Ослепленная ночью во вспышке мертвенного света Последний круг с протянутой рукой Я тебя ждала 100 лет на черно-белых улицах Ты пришел, насвистывая Éblouie par la nuit, à coup de lumières mortelles, shooter les cannettes aussi pommée qu'un navire, Si j'en ai perdu la tête, j't'ai aimé et même pire, Tu es venu(e) en sifflant, Éblouie par la nuit à coup de lumières mortelles, Faut-il aimer la vie, ou la r'garder juste passer, De nos nuits de fumettes , Il ne reste presque rien, Que des cendres au matin, Ah ce métro rempli des vertiges de la vie, la prochaine station, petit européen, Met ta main, descend la, en-dessous de mon cœur, Éblouie par la nuit, à coup de lumières mortelles, Un dernier tour de piste avec la mort au bout, J'ai attendu cent ans dans [bad word] en noir et blanc, Tu es venu(e) en sifflant... C'est fou, tu te crois à l'abri, Tu te moque du monde, Tu juges avec mépris, Bien trop intelligent pour dans ce piège être pris tu te voiles bien la face et se joue ce qui suit : Aveuglé par l'or sortant de sa bouche, Tu bois ses paroles délicieusement à la louche, Ne vois-tu pas loucher ce fou qui t'éclabousse, De son air aguicheur, et te conte sa soupe, Hey sale fripon, prends donc garde à ta langue, Je suis le chat qui te la mangera, ce jeu là, tu n'y gagneras pas, Un jour ou l'autre on récolte le bâton, Hey sale fripon prends donc garde à ta langue, Je suis le chat qui te la mangera, ce jeu là, tu n'y gagneras pas, Un jour ou l'autre on récolte le bâton, Nan, nan ne tombe pas dans le piège, De cet énergumène, Et de ses sortilèges, trop vouloir entendre ce qui te fait plaisir, Il t'aura bien flatté l'égo mais s'apprête à te nuire, Mmh Mmh, Mais regarde le glousser, Il tâte le terrain, Divise pour mieux régner, Dans son habit de prêtre il clame le vrai dessein, Te contrôle par tes peurs, tu deviendras son chien, Aveuglé par l